El colombo, Camille Makosso El pibe de Oro, l’homme tombé du ciel sans blessure ne ment pas. Oui oui, il n’est pas Chris Yapi, mdr. Le révérend général de la marmaille affirme ouvertement son djandjouya (banditisme), et ceci depuis toujours d’ailleurs. Avant tout, notons que Makosso n’a jamais dit qu’il est saint, malgré son statut de pasteur. Ce qui lui permet de vivre pleinement sa vie comme il le souhaite. On devrait lui foutre un peu le camp dis donc… Lol. C’est dans ce genre de souhait qu’une et deux centaines de go ont goutté à sa pine ( est-ce que je me fais bien comprendre ?). Genre rien que pour lui, plus de 200 femmes ont eu à se déshabiller pour que papitou puisse pénétrer au jardin des sept merveilles.
Ah on va me dire j’ai encore trouvé ça où, mais c’est ce qu’il nous dit dans son direct du jeudi 04 novembre hein. Eh oui, toutefois il va falloir que je vous précise le contexte afin d’éviter des combats inutiles, lol on ne sait jamais, c’est El colombo, des balles perdus peuvent surgir de nulle part. Makosso Camille était en train de prouver aux internautes qu’il n’a pas besoin de femmes à l’heure actuelle et que si c’était le cas, il aurait eu des dizaines de go prêtes à aller au sexe avec lui rien qu’en un claquement de doigt.
D’après Makosso, Papitou n’a plus le gout d’aimer, il lui serait encore difficile de se remarier vu la douleur de la perte de sa femme qui demeure encore dans son cœur. Makosso a eu un vécu, une histoire rocambolesque digne d’un témoignage. Plus de 200 femmes déshabillées par le général ? Vieux père, tu es gammé hein. Le frère de Lolo Beauté ne blague pas dèh. Il réaffirme qu’il est un spécialiste en mougoussologie (ce qu’il définit comme la science de la baizzz), et il lance un défi à toutes les femmes qu’il a connues de témoigner si jamais il a été une seule fois nul au lit…
Bref, c’est ça la triste vie de notre champion international meilleur blogueur d’Afrique francophone. On devrait penser à rajouter « Casanova » à sa liste de surnom ou bien ? Abonnez-vous aux notifications, entrez votre mail pour recevoir les newlestters directement dans votre boite. Je fais des articles trop bien adaptés à votre langage. Il y aura des nouvelles, rien de méchant, on se dit à tout à l’heure.
Les chroniques d’Amé sont des témoignagnes de faits réels reçus et traités par la célèbre animatrice togolaise Amé Océane CODJIA. Ces histoires souvent intriguantes sucitent beeaucoup de commentaires de la part des internautes.
Recueilli et publié par Amé Océane CODJIA
Je me plaisais dans cette vie jusqu’au jour où je l’ai vu traiter sa femme comme une reine et moi comme une merde l’heure d’après. Je n’étais qu’une « escorte », je vais le dire ainsi car le terme « prostitué » est rabaissant. J’avais commencé à me mettre à la disposition des hommes riches et de pouvoir à l’âge de 19 ans. Dans mon université, j’avais des camarades qui avaient bien réussi dans le domaine. Elles disposaient d’absolument tout ; alors j’ai eu moi aussi l’envie de m’y mettre.
Ce n’était pas toujours facile, non ce n’était jamais facile car il fallait fermer les yeux sur les pires imperfections et atrocités pour de l’argent. En une nuit, je pouvais gagner jusqu’à deux millions car ces hommes qui voulaient de moi, me payaient l’heure. Pour la plupart, c’était des étrangers venus au pays pour des séminaires ou d’autres sortes d’activités, mais ils étaient toujours, soit des diplomates ou des hommes politiques.
Pour y exceller, il fallait à un moment donné se libérer de toute convention ou bonne conscience et se laisser aller au plaisir charnel et à celui du bruit crépitant de billets de banque. En même temps, n’était pas escorte qui voulait, mais des filles hyper soignées et agréables sur tous les plans. Vous comprendrez donc qu’une grande partie de ce que je gagnais était réinvesti dans mon apparence physique.
A force de rencontrer du beau monde, j’avais fini par me faire un bon carnet d’adresses. Mais c’est au cours d’une soirée organisée par les autorités du pays que je rencontrai cet homme. J’étais toujours invitée à ces soirées car il y avait une liste d’escortes qui devait y être pour satisfaire ces hommes et femmes, oui femmes parce qu’il y avait aussi des lesbiennes.
Au cours de la soirée, un homme en veste s’était avancé jusqu’à moi et m’avait demandé de le suivre. Dans ce métier, il ne fallait pas poser de question mais suivre simplement les instructions. La discrétion était de mise. Je me levai et le suivis jusqu’aux ascenseurs puis, devant la porte d’une suite présidentielle car la soirée se déroulait dans un grand hôtel. L’homme me fit entrer, m’installa dans le salon, me servit du champagne et s’éclipsa.
Dans la pièce d’à côté, j’entendais un homme parler au téléphone. Il avait une voix très calme, douce mais très ferme. Une vingtaine de minutes après, l’homme se présenta devant moi. Sincèrement, jamais je n’avais croisé d’homme aussi charmant et soigné. Il était grand, avec des traits magnifiques. Il sentait bon et avait de si belles manières.
Il s’assit en face de moi et me demanda si je ne désirais rien d’autre à part ma coupe de champagne. Je répondis non. Il me posa des questions comme, comment je m’appelais, ce que je faisais dans la vie… Habituellement, très peu d’hommes s’intéressent à ces choses. Ce qu’ils veulent, c’est juste aller à l’essentiel. Nous avions discuté une trentaine de minutes puis il m’avait remis une enveloppe et m’avait invité à revenir le lendemain à la même heure.
Le lendemain à ma grande surprise, ce fut un homme qui m’appela en son nom et m’indiqua une adresse où me rendre. Une fois à l’adresse indiquée, je fus accueillie par un expatrié. Ce dernier ne discuta même pas. Il m’accueillit dans le jardin et me demanda de le suivre jusque dans une chambre.
Une fois la porte fermée, il me remit une enveloppe et me demanda de me mettre à l’aise. Se mettre à l’aise était un code pour dire de me mettre en condition pour lui. Une heure après, j’étais dans un taxi, direction maison avec des pensées pleines la tête.
« Qui était cet homme ? Et pourquoi m’avait-il envoyée vers un autre et pas lui-même ? ».
Après cette nuit, je n’avais plus eu de ses nouvelles. Pratiquement un mois après, je reçus un appel et c’était lui à l’autre bout du fil.
– Mlle, vous allez bien ?
– Bonsoir Monsieur, je vais bien merci beaucoup.
– Parfait. J’aurais besoin de vos services ce week-end. Je serai de passage dans votre ville et je serai heureux de vous revoir.
– Sans problème, je me rendrai disponible.
– Super. A bientôt alors….
J’avais été très surprise qu’il m’ait appelée lui-même mais le numéro était juste privé. Cet homme, jamais ne m’avait laissé son numéro de téléphone. Cette fois-ci, lorsque je le revis, ce fut dans une autre 5 étoiles, une vaste suite. Là encore, Rien. Nous avions discuté, il m’avait posé des questions sur mes projets, mes études et au bout d’une heure, il m’avait demandé si je pouvais lui masser le dos parce qu’il ressentait souvent une douleur à cet endroit précis.
C’était la toute première fois que je le voyais torse nu et en plus du charme, il avait du muscle. Je lui avais massé son dos et après, il s’était rhabillé et m’avait remis une enveloppe pour mon transport. Voilà, il ne s’était encore rien passé cette fois encore. Je le trouvais si étrange cet homme. Il était d’une douceur extraordinaire mais trouvait le juste milieu pour être ferme et froid. Après ces épisodes, je fus souvent recontactée par ses hommes de main pour satisfaire ses amis. Plusieurs. Je ne me plaignais pas, je faisais mon boulot et empochait mon argent. Mais je n’arrivais pas à oublier cet homme. Il m’intriguait tellement.
A chaque fois qu’il revenait au pays, il cherchait à me rencontrer juste pour parler et après son départ, je redevenais la prostituée qu’il plaçait à ses amis. Un soir, alors que j’étais chez moi à la maison, quelqu’un sonna à ma porte. C’était un visage déjà vu quelque part. Lorsqu’il se présenta, il ajouta :
– Monsieur veut vous voir, il est dans la voiture dehors.
Mon cœur fit un bond. Monsieur, je savais qui s’était mais comment connaissait-il chez moi et que venait-il y faire ? Intriguée, je sortis et marchai à la suite de cet homme qui ouvra la portière pour que je m’installe sur le siège arrière. C’était une voiture de luxe jamais vu pour moi.
L’intérieur était froide et acceuillante de parfum de luxe. Il y était bel et bien, assis à l’extrémité, une tablette en main. Il était vêtu d’un costume sur mesure taillé dans la plus belle des perfections. J’avais regardé chaque petit détail jusqu’au solitaire qu’il avait au doigt. Le chauffeur descendit du véhicule et referma sur nous.
Il resta concentré sur l’écran quelques instants puis posa l’appareil et se tourna vers moi avec un sourire.
– Alors vous allez bien ?
– Je me porte assez bien oui, mais que faites-vous ici et comment connaissez-vous ma maison ?
– Ce n’est pas compliqué ça, qui cherche trouve… Vous êtes plus belle sans maquillage je trouve… Même très belle…
Ce compliment me fit honte, je n’avais qu’un petit chignon et mon sourire pour tout maquillage.
– Je peux vous aider pour quelque chose ?
– Euh, oui, j’en suis sûre. J’aurais besoin que vous m’accompagniez à ma villa. Je n’ai pas très envie de rester seul ce soir. Pourriez-vous venir ?
– J’avoue que je ne me suis point préparée à sortir ce soir…
– Considérez cela comme du travail, vous serez payée pour absolument.
– Mais je dois me faire belle…
– Non ! Ne touchez à rien, restez exactement tel que vous êtes. Vous êtes une très belle femme ainsi et je préfère le naturel. Si vous êtes d’accord, je vous laisse aller chercher votre sac et on y va.
Quelques minutes après, j’étais dans une vaste mais gigantesque villa avec piscine, terrain de tennis et jardin à perte de vue. Jamais je n’avais vu une maison aussi belle. C’était une résidence privée. Il me demanda de le suivre et m’installa dans un salon à l’intérieur d’un autre salon. Cette demeure respirait le luxe.
Il revint vêtu de vêtements plus légers, une chemise en lin. Il avait tellement de belles manières cet homme. Il m’invita à table. Nous avions dîné, parlé de tout et rien, il était classique, il m’avait parlé de ses goûts musicaux, des animaux, et un peu de son travail sans rentrer dans les détails ni me dévoiler qui il était vraiment. Tard dans la nuit, il me fit visiter une chambre.
– Vous allez dormir ici. Ne vous inquiétez pas, vous ne serez pas dérangée…
– J’ai une question… Si vous me le permettez…
– Oui dites-moi…
– Ça me dérange un peu mais je suis tout autant intriguée. A chaque fois que vous me voyez, vous me payez sans me toucher… Pourquoi faites-vous cela ? Pourquoi ne pas prendre ce pourquoi vous me payez et pourquoi m’envoyez vers vos amis ?
Il garda le silence, me fixa un moment puis me passa une main contre le bras et me souhaita une bonne nuit. Je ne fermai pas l’œil de la nuit, de peur d’être dans les mailles d’un ritualiste. Je trouvai le sommeil vers 5 heures du matin mais à 7heures déjà, j’entendais du bruit. Je sortis du lit, me rendis à la douche et descendis au salon. Je le trouvai dos tourné devant le lave-vaisselle ? Apparemment, il faisait la cuisine. Sentant ma présence, il se tourna vers moi.
– Bien dormi ? Vous prenez vos œufs comment ?
– Bonjour, répondis-je d’une petite voix… Vous êtes très matinal…
– Oui en effet ; j’aime ces matins calmes où je peux me faire plaisir…
Nous avions déjeuné dans le calme, il avait lu la pile de journaux posée sur la table basse puis s’était reconcentré sur moi.
– Venez vers moi… (En tapotant le côté vide du fauteuil…).
Il me regardait subitement avec envie. Je sentais ses yeux se poser sur mes moindres détails. J’avais une seule envie, qu’il m’embrasse et c’est ce qu’il fit. Je fondis comme une glace. Je m’abandonnai à lui, je le désirais et je n’avais pas envie de réfléchir à la suite. Pour une fois, je ne voulais pas voir l’homme que j’avais en face de moi comme un client mais comme un homme, un amoureux, une personne sensuelle.
Le baiser fut si vrai qu’on aurait cru qu’il était amoureux de moi ; mais soudain il me repoussa vivement, se mit debout et m’invita à ranger mes affaires et à rentrer chez moi.
– Le chauffeur va vous raccompagner. Merci d’être venue. Prenez soin de vous.
Sur ces mots, il s’éclipsa. Je ne le revis pas avant de quitter la maison et dans une enveloppe sur le siège arrière, exactement là –où il était assis la veille, 1500 Euros… Je ne comprenais pas pourquoi il faisait cela.
– le chauffeur va vous raccompagner. Merci d’être venue. Prenez soin de vous.
Sur ces mots, il s’éclipsa.
Je ne le revis pas jusqu’à ce que je ne quitte la maison et dans une enveloppe sur le siège arrière, exactement là où il était assis la veille, 1500 Euros… Je ne comprenais pas pourquoi il faisait cela. Les semaines d’après, je fus encore contactée pour des soirées… J’étais juste la jolie escorte comme toujours mais je n’arrivais pas à penser à un autre homme que lui. Je devenais amoureuse et dépendante de lui. Dès que je voyais un numéro privé sur mon téléphone, je sursautais mais ce n’était pas lui.
Au cours d’une grande soirée de clôture d’un forum, soirée à laquelle j’avais été admise comme escorte et hôtesse, il se passa quelque chose qui me marqua à jamais.
J’acceuillais les invités lorsqu’un homme et une femme avancèrent vers moi. Je le reconnus aussitôt et mon cœur cogna fort. La femme était accrochée à son bras et sourait à tous. Elle était tellement belle, grande et rafinée. On aurait dit une reine de beauté mais la particularité, elle cachait presque une grossesse sous sa petite robe rouge qui épousait à perfection son teint d’un noir ébène. C’était une déesse.
Arrivés à ma hauteur, je leur avais souhaité la bienvenue et leur avais tendu une brochure mais Dieu sait que je tremblais de toutes mes forces. Ma gorge nouée, j’avais juste envie de pleurer. C’était ça la leçon de vie. Il venait de me dépasser comme une vulgaire personne et présentait sa femme si parfaite à tout le monde…
Je ressentis un pincement fort au cœur. Je compris… Voir un homme que je trouvais si parfait, avec une autre femme qu’il adulait autant et qu’il présentait à tous comme son épouse, la mère de ses enfants, sa partenaire et amour, me brisa le cœur.
Ne méritais-je pas moi aussi ces honneurs ? Devrais-je être juste la fille qu’on paie pour coucher avec ? Et cela jusqu’à quand ? Non, il n’y avait point de respect dans cette vie. C’était de la prostitution claire et nette.
J’en avais vu, j’en avais vécu des choses dégoûtantes pour de l’argent et cet argent pour lequel je perdais ma dignité ne me l’avait jamais apporté. Cet homme ne m’avait accordé aucun regard au cours de cette soirée. J’avais été placée à un homme, je m’excusai pour des maux de tête et rentrai pleurer toutes les larmes de mon corps.
C’était le traitement de trop. Je ne sais pas si je devais lui en vouloir ou m’en vouloir à moi-même mais une chose était certaine, je voulais que ça s’arrête. Je me rappelais du baiser et je me disais qu’il ressentait peut-être quelque chose pour moi… Pour cela, je devais travailler ma personne afin de devenir la femme respectable et pleine de qualités qu’un homme aurait eu de la fierté à présenter.
Voilà comment je suis sortie de la prostitution. Vous allez me demander si j’avais revu cet homme, oui je l’ai revu, l’année suivante. Plusieurs fois, il avait essayé de me placer encore à ses amis mais j’avais catégoriquement refusé. Ces refus l’ont peut-être intrigué. Il avait débarqué à la maison chez moi et m’avait demandé ce que je devenais. Jeune femme chef d’entreprise, j’avais repris mes études en cours du soir et avais totalement raccroché avec ma vie d’avant.
Il avait souri et m’avait remis sa carte de visite et son numéro privé. C’était la première fois qu’il me donnait ses vrais contacts.
– Fais-moi signe si tu as besoin de n’importe quoi.
Voilà comment cet homme a fini par devenir mon mentor en entrepreneuriat et mon grand ami et frère.
À ma question de savoir pourquoi il me plaçait à d’autres hommes et pas lui, il m’avait répondu ceci:
– À un moment de ma vie, je croyais ne jamais être capable de poser les yeux sur une autre femme mais tu avais tout changé. Dès le premier jour je t’ai remarquée et j’ai demandé toutes les informations sur toi. J’ai su quel travail tu faisais… Je voulais abandonner mais quelque chose m’encouragea à rester là et à te suivre. Je dirai que tu m’as rendu service parce que si tu avais refoulé ces hommes qui voulaient coucher avec toi, je t’aurais aimée à la folie. Mais coucher avec nos partenaires, c’était un piège. Je voulais voir si tu refuserais de coucher encore avec l’un d’eux. Tu n’avais jamais refusé et à chaque fois que tu acceptais, mon amour se transformait en pitié . Je voulais t’aider à sorir de cette vie. Tu merites tellement mieux. De plus je suis un homme amoureux de sa femme. Et grâce à toi je suis resté FOCUS dans mon couple.
Sarra Messan et Makosso Camille ont eu une relation amoureuse, c’est là-bas on s’en va comme ça depuis le début de cette semaine jusqu’à ça fini pas. Au fait, ce qui était censé être caché par Makosso lui-même a été révélé par lui-même encore à travers ce qu’il appelle une confession faite dans le but de montrer au monde que Sarra Messan est une mauvaise fille. La relation qui était en voie d’aboutir au mariage a été interrompue par le général pour des raisons qu’on ignore, mais le plus important, c’est la suite, puisque après l’amour, c’est actuellement la guerre chez eux là-bas. Les deux péchés mignons sont dans le règlement de compte. (Abonnez-vous avant tout, cliquez sur la cloche des notifications juste en bas de votre écran ou insérer votre mail pour recevoir directement les nouvelles dans votre boite mail).
Makosso Camille a été obligé de dévoilé tout ce que Sarra Messan lui a avoué depuis le début. Il espérait juste que cette dernière intervienne pour nier ou créer une autre polémique dans le même sillage afin de la dézinguer en public. Mais Sarra Messan ne dit rien jusque-là et cette situation n’arrange pas le général. La web humoriste préfère faire comme si de rien était depuis que Makosso a divulgué leur conversation qui était censée être secret.
Makosso Camille est arrivé jusque-là en remarquant combien de fois les attitudes de Sarra Messan sont hypocrites et trompeuses sur la toile. D’après lui, Sarra Messan serait attiré par Apoutchou National et aurait préférée ce dernier à lui, en faisant passer l’homme dont elle était amoureuse (Makosso) pour une personne qui invite les gens au « aide-moi à détester » comme ils le disent si bien.
Sarra Messan est restée dans le silence. Elle ne répond pas aux révélations de Makosso. Elle s’est contenté de son voyage au Caire, laissant le général seul dans la marmaille. Va-t-elle répondre ? En tout cas ses fans adorent bien son silence, d’après les commentaires récurrents sur sa page depuis l’explosion des captures. On lui conseille de ne pas réagir afin de laisser Majkosso seul dans son délire. Va-t-elle tenir dans le silence pour longtemps ? Ou plutôt va-t-elle finir par craquer comme elle l’a fait dans l’affaire du clash de Makosso et Apoutchou, en utilisant des paraboles ? En tout cas, ses fans préfèrent bien son silence, c’est le mieux qu’on puisse retenir.
Pendant ce temps, Camille Makosso prends d’assaut le game en se jouant les terroristes. Il menace de jour en jour ses rebelles Apoutchou et Sarra Messan de revenir au combat vu que ces derniers sont devenus silencieux alors qu’ils étaient les acteurs principaux du clash. Makosso dit ouvertement qu’il s’ennuie. Le champion de tous les dossiers a besoin de clash. L’Afrique doit lui trouver une solution.
Kiko est un jeune artiste togolais passionné des musiques urbaines. Il a fait ses preuves sur le territoire togolais en tant qu’artiste ayant un potentiel sûr et aujourd’hui grâce à Dieu sa réputation le précède dans le milieu. C’est un jeune pour qui tout le monde a de l’admiration. Il est calme discret et reservé. Sa vie consiste à produire de la musique. Grâce à sa voix et son flow qui excitent à chaque écoute, il fait des merveilles. Au Togo, il possède des milliers de fans. Il est reconnu pour ses morceaux d’amour et son image fait état d’égérie pour une marque de téléphonie mobile. Les sondages au sein du public montrent sans aucun doute que le jeune Kiko est une étoile de la musique. Mais une étoile de quelle nature ? Montante ou « descente » ? (Abonnez-vous avant tout, cliquez sur la cloche des notifications juste en bas de votre écran ou insérer votre mail pour recevoir directement les nouvelles dans votre boite mail).
Malgré que son nom fasse jouir ses fans et qu’il soit reconnu par les plus grandes stars de la musique urbaine africaine aujourd’hui, les fans de la musique togolaise lui reprochent un sérieux problème d’évolution. En effet, les consommateurs de la musique de Kiko Golden Boy pensent qu’il mérite mieux que sa position actuelle dans la musique togolaise et celle de la sous-région. Ont-ils raisons de penser ainsi ? C’est ce qu’on cherche à savoir et qu’on saura (lol).
Il est important de noter que le talent de Kiko est la chose la plus désirable que tous les artistes du monde aimeraient avoir. Une voix très excitante, un flow bien chanté, des mélodies qui donnent envie d’aimer, un texte bien écrit… Kiko possède tout ce qu’il faut pour construire une carrière au même niveau qu’un Dadju ou un Tayc en France. Mais malgré tous ces atouts, le jeune peine à briller comme il le faut et les fans se demandent ce qui se passe. Subit-il un quelconque blocage ? Spirituel ou physique ?
Souvent les accusations vont à l’endroit de son staff. D’après les fans, leur artiste souffre sérieusement d’un problème d’encadrement. Ce constat a été évoqué par plusieurs personnes récemment après qu’on a appris le piratage de ses comptes YouTube et Facebook. Selon les avis recueillis sur la toile, l’équipe qui gère la carrière de Kiko serait la plus incompétente qui soit en matière de gestion artistique. Ont-ils raison de penser ainsi ? Il faudrait avant tout se poser la question si Kiko possède une équipe.
La réponse est OUI, si on peut considérer qu’un manager suffit pour gérer tous les aspects de la carrière d’un artiste. Le jeune Kiko possède bel et bien un manager qui s’occupe de sa carrière. Malgré tout, il semble patauger tout seul dans la boue du show-business, victime d’une évolution ralentie par des causes très mystérieuses. Il semblerait que les échecs dans la carrière de Kiko soient nombreuses. On évoque souvent l’épisode d’un contrat qui aurait mal tourné entre le jeune artiste et une maison de production appartenant à un ex-directeur d’Universal Music Afrique. Kiko n’a jamais rien dit de plus à ce sujet à part que tout ira bien. Mais on aurait appris selon les commentaires sur la toile que ce contrat serait la base du retard de l’évolution de son évolution.
Jusqu’à aujourd’hui, il est impossible de savoir si ce contrat qui devrait durée 02 ans a été rompu ou non, car l’artiste et son manager ne communique jamais sur l’état de leur carrière. Cependant, plusieurs personnes pensent qu’une mauvaise gestion de ce contrat serait en train d’endommager sérieusement la carrière du jeune au point de pousser ce dernier vers une trajectoire destructrice. Finalement la question qui se pose au cas où le retard constaté dans sa carrière provient véritablement de la mauvaise gestion de ce contrat, c’est : QUI EST AU COMMANDE DE LA CARRIERE DE KIKO ? Est-ce lui-même qui prend les décisions ou quelqu’un d’autre ? Car l’évidence est que la réussite de sa modeste carrière dépend de celui ou ceux qui décident pour lui. Quel rôle joue-t-il dans sa propre carrière ?
La majorité des personnes qui parlent de Kiko affirment combien de fois l’artiste est inaccessible. On raconte que son manager est au devant de tout, ce qui laisse croire que ce dernier serait l’homme aux commandes. Le manager de Kiko est-il responsable de l’évolution très ralentie de son artiste ? Est-il celui qui l’a placé dans un contrat problématique ? Ou plutôt est-il celui qui essaie de sauver Kiko de ce contrat créant une vive tension au sein de affaires de l’artiste ? Ces questions sont soumises à votre analyse. N’hésitez pas à laisser un commentaire à propos.
Vous avez gagné quelques capacités mentales de plus en jouant au jeu de billes, mais ça vous ne le saviez pas. En Afrique, le principe du jeu de bille est simple : vous tirez une bille pour cogner celle de votre adversaire et vous gagnez. Mais avant ça, il faudrait d’abord que tout le monde s’aligne pour viser un petit trou afin de déterminer qui aura le privilège de tirer en premier. Ceux dont les billes seront plus proches du trou ou entreront dans le trou auront ce privilège d’être les meneurs du jeu. Ce n’est pas le même principe partout, mais en général, c’est très intéressant quand on s’y met surtout en récréation ou à la fin du cours (au cours primaire).
Nous avions tous joué au jeu de billes au cours primaire et certains d’entre nous étaient même prêt à se bagarrer pour ça (lol). Le bon vieux temps… En tout cas je faisais aussi partie du clan des mauvais perdant qui étaient prêt à aller jusqu’à la bagarre pour réclamer les billes qu’on nous avait gagnées (mdr). Ce jeu très amusant est l’un des plus pratiqués par les enfants en Afrique et partout ailleurs dans le monde. Ses variantes sont nombreuses et ce serait une vraie exception si vous n’avez jamais touché aux billes entre 4 et 9 ans. Aujourd’hui une question pertinente m’a traversé l’esprit à propos de ce jeu. Qu’est-ce qu’on y gagne vraiment ? Au-delà de l’aspect divertissant, qu’est-ce qu’on a gagné inconsciemment en jouant au jeu de billes ?
Cette question est née de la vérité scientifique qui stipule que tout ce qui se converti en habitudes dans la vie de l’être humain à une certaine période influence ses capacités mentales. Je crois personnellement et c’est d’ailleurs prouvé par la science que toutes nos habitudes durant l’enfance ont un impact sur notre vie futur. Dans ce cas, quelle a été l’influence du jeu de billes sur nous ? Je me suis posée la question et je vous la pose aussi cher(e) lecteur(trice). Vous pouvez me donner votre réponse en commentaire.
Personnellement je suis un grand fan de jeu vidéo et je sais que ces jeux d’aventures que j’ai toujours adorées et pour lesquels je mobilisais toute mon attention pour gagner, m’ont permis de développer une forme d’intelligence dans la recherche des solutions face à certains problèmes dans ma vie d’aujourd’hui. Il n’y a pas de hasard dans la vie et rien n’est inutile sous le soleil. Je pense que le jeu de bille travaille la concentration et le sens de la précision de l’enfant qui s’y adonne.
C’est le jeu le plus pratique pour les enfants au cours primaire. En jouant au jeu de billes, nous mettons en jeu notre sens de l’attention et notre capacité à être précis. La concentration qu’un enfant met en jeu lors d’un jeu de bille n’égale en rien celle qu’il mettra en jeu devant un maitre dans une salle de classe pour suivre des cours. Il faut tirer la bille pour qu’elle entre dans le trou ou qu’elle soit le plus proche possible, puis tirer pour cogner la bille de son adversaire pour gagner. Chacun de ses tirs activent des sens dans nos hémisphères cérébraux de telle sorte que jouer de façon répétitive nous permet finalement de développer de peu notre sens de la précision et notre concentration. C’est tellement amusant qu’on ne se rend pas compte du bien qu’on procure à notre cerveau.
Le jeu de billes est un excellent jeu que je recommande vivement à tous les enfants. C’est un excellent jeu de mémoire. Si votre enfant adore le jeu de billes, n’essayer pas de l’empêcher, sauf en cas d’exagération. Ce n’est pas pour rien que le jeu de bille fait partie des épreuves pour survivre au Squid Game. N’oublier surtout pas de me dire en commentaire ce que vous pensez de ce jeu sur le plan mental.
Le programme télévisé intitulé l’Afrique a un incroyable talent révèle combien de fois le continent possède des phénomènes culturels. C’est une adaptation d’une émission britannique qui suit les mêmes procédures à quelque différences près. Chez les Britanniques la remarque est simple : lorsque tu gagnes, tu as directement la possibilité de faire preuve de ton talent devant la famille royale. On parle d’un niveau de grandeur extrême suite auquel tu es inséré, travaillé et préparé pour devenir une source de revenus pour ton pays. À l’instant où tu gagnes, tu deviens une célébrité incontournable en pleine possession de ses moyens. On te donne toutes les marques de reconnaissance qu’il te faut pour que tu n’aies plus jamais à chercher à être célèbre dans ta vie, mais plutôt à être le meilleur partout. Lorsqu’on remarque que tu n’es pas capable d’être une bonne source de revenus pour le pays, on t’abandonne.
Chez les Britanniques, l’objectif de ce concours consiste à dénicher des talents qui seront formés puis utilisés comme une arme culturelle destinée à affronter les autres pays du monde sur le plan économique. Dès que vous gagnez, vous devenez une vraie valeur culturelle dont l’existence devrait servir à faire augmenter la contribution du secteur culturel au PIB de votre pays. Votre incroyable talent vous permet de vous enrichir et d’enrichir votre pays sur le plan culturel et économique.
Nous avons voulu reproduire le même concept en Afrique, mais avec un esprit différent. Sauf qu’ici le gagnant remporte 10 millions et à la fin de la saison, c’est chacun pour soi Dieu pour tous. Au pire, sa richesse ne profite qu’aux pays étrangers, puisqu’il aimerait bien exercer son talent quelque part où on reconnaît sa valeur et où ça rapporte, donc il s’en ira vivre ailleurs et payer ses impôts là-bas. Résultat, bredouille. À quoi nous sert l’incroyable talent de l’Afrique ? Si nous disposons des talents hors pair, pourquoi la pauvreté demeure un souci majeur sur le continent ? Est-ce que nous manquons d’une discipline culturelle ? Ou avons-nous des problèmes avec la gestion de l’argent ? Votre avis est la bienvenue.
